zEros / 2016
Partir de zéro ? Ou bien y arriver ? D’abord jeter la peinture : production de riens, de nullités. Puis méditer : ébauche de mouvements, amorce d’horizons. Des hallucinations fourmillent, des intuitions découvrent, des gestes s’improvisent : éruptions graphiques, flux de textures, germinations de signes. Comme autant de réponses aux taches soit en accord soit en opposition à leur suggestion mais toujours en quête de métamorphose : règne des JetStases, souveraineté des mutations spatiales. En donnant consistance au devenir, les zEros s’imposent comme origine indépassable du désir.